Les premiers frémissements de cette guerre des airs à grande échelle sont apparus à l’aube de 2012 avec l'annonce de la parution des arbres technologiques allemand, américain et soviétique sur le site officiel de World of Warplanes. Il s’agissait-là d’un signe avant-coureur du test mondial de la version alpha (GAT) lancé le 23 février de cette même année, le terme « mondial » indiquant que, contrairement aux premiers essais (abrégés en AT), celui-ci se tiendrait dans trois « territoires Wargaming » : la Russie (RU), l’Europe (UE) et l’Amérique du Nord (AN). Les transfuges de la phase précédente se sont vus attribuer le statut de vétérans AT, tandis que le sigle GAT a désigné les petits nouveaux.
Deux cartes existaient dès la première phase de la version alpha : « Port », dont une petite partie reprend la carte homonyme de World of Tanks, et « Novorossiisk », ensuite rebaptisée « Port ». Le « hangar », qui abritait alors une bonne dizaine d’avions originaires d’URSS, des États-Unis et d’Allemagne, n’en était pas encore un en réalité, les avions étant présentés en l’air, hélices tournantes, au beau milieu des nuages.
Lors du test mondial de cette version alpha, une troisième carte a fait son apparition, « Pacifique », qui n’a longtemps été disponible que pour les avions des rangs VI à X. Cela n’a pas manqué de surprendre les joueurs qui y revenaient sans cesse aux commandes de leur F4U, La-5 et Bf.109G favoris, seuls modèles de rang VI à l’époque.
Outre les canons, mitrailleuses et roquettes, les bombes ont intégré le jeu et les premiers avions à en emporter ont été le Fw.57, Il-2(d) et le F4U. Grâce au marqueur posé au sol sous la forme d’un cercle et d’un viseur, il était possible de bombarder les cibles terrestres et marines, qui se divisaient en deux catégories : barils et navires. Toutefois, les pilotes d’essai les plus téméraires n’ont pas tardé à trouver un moyen d'abattre les appareils ennemis à coups de bombes lorsqu’ils les suivaient de trop près.
Dès le début de la phase de test en bêta fermée, barils et navires ont été remplacés par des cibles destructibles complexes apparaissant de manière aléatoire sur les différentes cartes. Un hangar et la possibilité de réparer les appareils endommagés ont ensuite été ajoutés, ainsi que les surchauffes moteur, l’indication du calibre sur les emplacements des munitions, les missions d’entraînement et, le plus important, la liste complète des avions des trois premiers arbres technologiques.
Le test de la version bêta fermée de World of Warplanes a débuté le 30 mai 2012. Durant l’été, le jeu s’est enrichi de canons de DCA haute altitude, de pénalités pour destruction ou endommagement d’un allié, et d’une nouvelle carte faisant la part belle aux gorges et autres défilés : « Parc national ». Les bombes et missiles embarqués ont commencé à peser sur les caractéristiques de vol, tandis que les joueurs ont pu, pour la première fois, rechercher des éléments et s’en équiper, quoique seulement par le biais de préréglages.
Le réajustement des éléments embarqués n’a été disponible qu’à l’automne, lorsque le mode manuel de l’installation de ces modules est apparu. Les rangs élevés ont pu se régaler sur une nouvelle carte, « Phare », alors que les premiers objets mobiles (véhicules de transport et bâtiments de guerre) sont apparus sur « Pacifique ». C’est à ce moment-là également que World of Warplanes a vu débouler les premiers avions premium (le Fw.56 allemand et le P-39Q soviétique), ainsi que les pièces d’or de test que les joueurs glanaient au combat.
Les avions ont bénéficié d’un nombre illimité de munitions (rageant de se retrouver à court d’obus face à plusieurs adversaires en fin de bataille), ce qui n’a pas déplu aux amateurs de castagne ininterrompue. Leur liberté a cependant été bridée par la surchauffe des canons et mitrailleuses, qui interrompait le feu, et réduisait donc la cadence en même temps que la précision du tir.
La famille World of Warplanes s’est agrandie avec l’arrivée de l’arbre technologique japonais, mais aussi avec celle des pilotes de l’empire du Soleil levant. De plus, nos aviateurs virtuels ont pu, dès lors, coordonner leurs activités avec l’aide du chat vocal.
Par sa refonte en profondeur de l’architecture client-serveur et, partant, l’amélioration significative du temps de réponse des commandes, la mise à jour 0.4.0 a constitué un tournant dans le développement du jeu. Les blocages qui survenaient pendant la navigation se sont raréfiés et d’intéressantes perspectives ont germé en vue d’une optimisation future. Quant à la nouvelle modélisation physique, elle a permis de régler plus facilement et plus précisément les avions.
Chacun a pu se réjouir ensuite du mode assaut adapté à l’attaque des cibles au sol, des variantes de commandes à la souris, et des graphismes moyens et élevés plus aboutis, sans oublier la mise à jour de la modélisation des vols.
Avant le coup d’envoi du test en bêta ouverte, des équipements, des consommables et le système de formation de l'équipage (une liste de compétences par pilote) ont vu le jour. Le nombre d’appareils a sensiblement augmenté, et de gros progrès ont été faits dans le rendu des objets, des sons (enregistrement de vrais avions) et des modèles physiques, ainsi que dans l'optimisation de l'équilibrage du jeu.
Le test de la version bêta fermée de World of Warplanes a débuté le 30 mai 2012. Durant l’été, le jeu s’est enrichi de canons de DCA haute altitude, de pénalités pour destruction ou endommagement d’un allié, et d’une nouvelle carte faisant la part belle aux gorges et autres défilés : « Parc national ». Les bombes et missiles embarqués ont commencé à peser sur les caractéristiques de vol, tandis que les joueurs ont pu, pour la première fois, rechercher des éléments et s’en équiper, quoique seulement par le biais de préréglages.
Le réajustement des éléments embarqués n’a été disponible qu’à l’automne 2012, lorsque le mode manuel de l’installation de ces modules est apparu. Les rangs élevés ont pu se régaler sur de nouvelles cartes - « Phare », « Plateau », « Frontière asiatique », « Région arctique » et « Baie » alors que les premiers objets mobiles (véhicules de transport et bâtiments de guerre) sont apparus sur « Pacifique ». C’est à ce moment-là également que World of Warplanes a vu débouler les premiers avions premium (le Fw.56 allemand et le P-39Q soviétique), ainsi que les pièces d’or de test que les joueurs glanaient au combat.
Les avions ont bénéficié d’un nombre illimité de munitions (rageant de se retrouver à court d’obus face à plusieurs adversaires en fin de bataille), ce qui n’a pas déplu aux amateurs de castagne ininterrompue. Leur liberté a cependant été bridée par la surchauffe des canons et mitrailleuses, qui interrompaient le feu, et réduisait donc la cadence en même temps que la précision du tir.
La famille World of Warplanes s’est agrandie avec l’arrivée de l’arbre technologique japonais, mais aussi avec celle des pilotes de l’empire du Soleil levant. De plus, nos aviateurs virtuels ont pu, dès lors, coordonner leurs activités avec l’aide du chat vocal.
Par sa refonte en profondeur de l’architecture client-serveur et, partant, l’amélioration significative du temps de réponse des commandes, la mise à jour 0.4.0 a constitué un tournant dans le développement du jeu. Les blocages qui survenaient pendant la navigation se sont raréfiés et d’intéressantes perspectives ont germé en vue d’une optimisation future. Quant à la nouvelle modélisation physique, elle a permis de régler plus facilement et plus précisément les avions.
Chacun a pu se réjouir ensuite du mode assaut adapté à l’attaque des cibles au sol, des variantes de commandes à la souris, et des graphismes moyens et élevés plus aboutis, sans oublier la mise à jour de la modélisation des vols et du système de luminosité.
Avant le coup d’envoi du test en bêta ouverte, des équipements, des consommables et le système de formation de l'équipage (une liste de compétences par pilote) ont vu le jour. Le nombre d’appareils a sensiblement augmenté, et de gros progrès ont été faits dans le rendu des objets, des sons (enregistrement de vrais avions) et des modèles physiques, ainsi que dans l'optimisation de l'équilibrage du jeu.
La réaction des avions aux actions des joueurs a été améliorée, ainsi que l’interface de bataille et le système de recherche des avions.
Les joueurs préférant les joysticks ont l’opportunité de configurer leur périphérique de manière optimale, et les effets visuels des marqueurs, des explosions, de la rotation des hélices ainsi que des énormes objets destructibles ajoutent plus de réalisme au jeu. Les pilotes en test ont eu la chance de bénéficier de fenêtre de conseils et d’un système de comparaison d’avions au sein de la bataille même ou sur l’écran de chargement. Les premières récompenses de succès étaient représentées également.
La logique de recherche et d’installation des éléments a été modifiée afin de mieux refléter celle des chars, ce qui est revenu à supprimer les restrictions inutiles et à peaufiner la convivialité. Auparavant, par exemple, la pose d’un canon dépendait du modèle du moteur et l’arme ne pouvait prendre place que sur une cellule donnée. L’ordre a été modifié au profit d’une jouabilité à la fois plus variée et plus confortable.
Le paramétrage économique, l’équilibrage du jeu, l’optimisation des performances et le réglage des commandes de l’avion ont constitué les priorités de ce test, qui a débuté le 2 juin 2013. À noter également que les anciennes cartes ont été retravaillées et que de nouvelles, « Fjord » et « Front ouest », sont apparues. « Baie » et « Océan pacifique », quant à elles, ont vu fleurir de nouvelles actions militaires en arrière-plan. Les objets de chaque version linguistique sont devenus non seulement destructibles, mais ils ont pu prendre feu grâce à une nouvelle gamme de munitions composée d'obus explosifs, perforants et incendiaires explosifs, entre autres.
Une troisième branche a poussé sur l'arbre technologique soviétique : celle des légendaires chasseurs de l'ingénieur aéronautique Alexandre Yakovlev. L’arbre du Royaume-Uni, autre puissance majeure de l’âge d’or de l’aviation, a suivi peu de temps après.
La liste des équipements et consommables s’est considérablement rallongée, le système des compétences d’équipage a changé et les premiers accomplissements sont apparus, tout comme l’entraînement à l’intention des débutants.
L’un des plus importants succès de la bêta ouverte était le nouvel équilibre complet des arbres de recherches et l’implémentation d’économie unifiée pour World of Warplanes et World of Tanks en particulier – compte premium unifiée pour les deux projets.
Les testeurs de World of Warplanes ont assisté à la naissance d’un nouveau jeu. Après moult modifications et essais, et après avoir écarté les fonctionnalités redondantes et conservé les meilleures solutions, l’heure de la sortie approche à tire d’aile. Le développement du jeu continuera quoiqu’il arrive, mais pour lors, en voici les caractéristiques :
Les développeurs de World of Warplanes ne vont pas s’arrêter là et l’évolution du jeu va conserver la même cadence que pendant les phases de test. De bien belles choses vous attendent encore, qui feront le bonheur des joueurs comme des mordus d’aviation militaire.
À bientôt tout là-haut !